Je nage dans la cuisine !
Salut
J’ai encore, chose que je ne savais pas, le camp de première aide et natation demain, seulement pendant six heures. Comme le week-end est là, Thurid est restée pendant une ou deux heures avec nous avant d’aller monter pour la première fois de sa vie sur un cheval à Petersberg (elle n’est même pas tombée une seule fois !). Je crois qu’elle restera aussi demain. Elle a donc participé à l’atelier « cordes à nouer » ce matin, et a pris de jolies photographies de moi, de Chris, de Stephanie et de Franziska (mon correspondant germanique et ses deux sœurs).
Quand elle nous a récupérés, nous sommes directement allés à un énorme centre commercial où se tenait un concours de statues de sable dont les participants n’étaient pas du tout allemands. La plus belle était une représentation hors-concours, elle représentait deux châteaux au sommet de monts escarpés, surmontant vaillamment un village, qui se trouvait entre les deux palais, dans le creux de la colline. Dans l’autre versant du massif, un énorme dragon de sable faisait office de vallée. Nous avons eu la chance de le voir cracher de la fumée (vraiment magnifique). Nous sommes entrés à l’intérieur de la galerie. L’entrée du bâtiment m’a étonné, je me suis cru à l’intérieur de la colonne vertébrale d’une personne, dont la couleur changerait continuellement et le propriétaire ne bougerait pas, comme s’il était mort. J’ai d’abord eu l’impression d’être au musée Mercedes, car des voitures du siècle dernier y étaient exposés, évidemment des Mercedes-Benz (non, pas de Citroën, de Toyota ou encore de Porsche). Les magasins sont énormes, et nous avons pu naviguer avec la famille Wedler entre Broadway, Chelsea (pas les villes, des magasins), Intersport et l’énorme Atrium (c’est son nom) où se trouvent quantité de restaurants à l’odeur délicieuse, aux menus différents et aux personnes toujours plus chaleureuses. Nous en sommes partis à 20 heures.
Courage ! Plus que quatre jours au camp et les vacances comme je l’imagine (cocktail, lunettes de soleil, doigts de pied en éventail, tongs et en bruit de fond les vagues explosant sur la plage) ! Même si le temps ne s’y prête pas trop aujourd’hui !
Allez, à demain
Arthur