Déjà fini, ce stage ?
Aujourd'hui, c'était le dernier jour du stage d'équitation. Qui m'a fatigué. Je ne sais pas pourquoi. Je me suis juste levé à 6 heures du matin, mais je ne sais pas pourquoi je suis crevé comme un ballon de baudruche. J'ai déjeuné comme quelqu'un qui n'avait pas mangé depuis 4 jours (imaginez un peu la quantité de tartines de pain et de croissants que j'ai pu avaler). Puis nous sommes allés (moi, mon correspondant Christopher et ses deux soeurs) dans le petit village de Petersberg où se trouve leur centre équestre.
Quand nous sommes rentrés, moi et Chris, dans le boxe de Lizzy (cheval que j'ai monté hier), nous avons directement lavé l'endroit (ça ne sentait pas franchement la rose). Lavé de fond en comble, à tel point qu'il nous en a fallu au moins une dizaine de brouettées pour entreposer le foin sale et autres cochoncetés.
Puis, comme hier après-midi, j'ai monté Lizzy, qui, comme Pegasus (autre cheval que j'ai monté), a une raie sur la droite (il n'a pas un crin à gauche). Il est aussi le plus vieux du centre, avec 22 bougies. Lizzy est plus énergique que son ami Pegasus (qui lui a 18 ans) et n'hésite pas une seule seconde à gruger ses petits camarades pour les embêter (vous regardez Canal + vers 20 h 40, à l'heure de "superconnard" ? Si oui, ça y ressemble, non ?).
Après a eu lieu le petit dejeuner du centre, auquel je n'ai pas participé parce que je me sentais lourd après l'engloutissement du début de journée. Cela ne m'a pas empêché de devoir faire la vaiselle, me demandant énervé mes amis me laisaient faire cette corvée alors que douze autres personnes avaient mangé, et moi non. Mais bon. Puis les deux cours suivants se sont passés normalement (à part la chute de Franziska, soeur de Chris - et encore elle est tombée sur ses pattes - qui a glissé de sa monture). A 14 heures eut lieu le repas. Il était composé de petites briochettes faites par mon correspondant (qui a dit que les garçons ne savaient pas cuisiner ?) dans lesquels nous mettions ce que l'on voulait dedans (confiture, crême anglaise, beurre ...).
Cet après-midi j'ai pu avoir comme monture Pegasus, mon cheval polyglotte avec lequel j'ai pu galoper. Quand Thurid (la mère de Chris) est allée nous chercher, nous sommes partis pour l'énorme champ de fraises de Sennewitz où nous avons pu pendre deux kilos de fraises pour 7 euros (pas cher, mais en même temps la vendeuse est la seule employée de sa société et la cueillette, c'est nous qui la faisons).
Arthur
PS : Le séjour à la THW (ceux qui s'occupent des problèmes autres que les incendies) dure jusqu'à Lundi mais je crois que l'on n'y reste pas toute la journée. Aussi aurais-je peut-être le temps, si temps j'ai, d'écrire sur mon blog.