Ma sorcière bien-aimée
Salut
Aujourd’hui, ma sorcière bien-aimée est passée par là ! Non, en réalité nous avons fait le ménage pendant deux heures, avec la famille au grand complet. Donc la maison ressemble à Versailles. Le rangement a touché toutes les salles, sans une seule exception. Nous allons dans environ une demie heure regarder les exploits cinématographiques de mon correspondant allemand en Angleterre (je crois que ça va me plaire) à Stratford on Avon, Oxford (pas les cahiers, la ville) et Londres. J’imagine bien une scène où mon ami allemand met en scène une tasse de thé avec une petite personne en costume, chapeau melon et chaussures de cuir (pas bottes), avec une petite moustache bien ajustée. Ce serait assez drôle à voir, surtout avec en fond Big Ben (Alors là, ce serait carrément un sketch).
Sinon, j’ai pu revoir la plupart des amis de Chris ce matin, car ils étaient partis avec lui au pays des Beatles. Ils ont fait ce matin une énorme affiche sur la nourriture anglaise (fish and chips, beans & tea, of course !). Ils ont passé un peu de temps sur les ordis (il y a deux salles informatique, la salle des portables et celle où les moniteurs sont sous des vitres -ça donne un mal de cou énorme après le cours -). Cet après-midi (si on peut dire) nous sommes partis à environ midi, voire un peu plus tôt du lycée Labyrinthe.
Au fait, ce n’est que mercredi que mon année scolaire se termine, vers environ 10 heures. Demain, c’est la fête du sport (qui se termine à peu près à la même heure qu’aujourd’hui).
J’ai pu aussi apprendre que j’ai obtenu aujourd’hui le prix d’excellence des quatrièmes de mon collège, et que ma mère était montée sur scène (du Mac-Nab). Je dois ce titre à tous mes professeurs de cette année, à mes parents, qui m’ont soutenu jusqu’au bout de cette année. Et le prix du mérite de ma classe (Florine) mérite vraiment son titre vu l’année qu’elle a réalisée.
Allez, à demain
Arthur
P.S. : Spéciale dédicace à M. Vidard, Mme. Bordet, à qui je dois aussi ces mois allemands, et de l’autre côté de la frontière la mère de mon correspondant.